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Des articles que nous avons choisi de mettre en évidence et que nous vous encourageons à consulter.

LES ANNONCES

AGRO D’OC recrute un·e stagiaire – Projet Carbo d’Oc

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Tu es étudiant·e en école d’ingénieur Agri/Agro et tu veux contribuer concrètement à la transition bas carbone de l’agriculture ? Rejoins la coopérative AGRO D’OC, qui accompagne depuis plus de 20 ans plus de 1200 agriculteurs du Sud-Ouest vers des pratiques durables, innovantes et performante. (…)

JPEG - 180.5 kioTu es étudiant·e en école d’ingénieur Agri/Agro et tu veux contribuer concrètement à la transition bas carbone de l’agriculture ?
Rejoins la coopérative AGRO D’OC, qui accompagne depuis plus de 20 ans plus de 1200 agriculteurs du Sud-Ouest vers des pratiques durables, innovantes et performante.

Ta mission :
Intégré·e à l’équipe Carbo d’Oc, tu participeras au suivi des exploitations labellisées Bas Carbone :
✅ Diagnostics et suivi des projets bas carbone
✅ Évaluation des pratiques et calcul de l’empreinte carbone
✅ Appui au montage administratif et financier du projet
✅ Contribution au développement commercial du projet et aux actions du pôle conseil (expérimentations, suivis parcellaires…)

Profil recherché :
Étudiant·e ingénieur Agri/Agro passionné·e d’agronomie et de techniques culturales
À l’aise sur le terrain comme dans l’analyse
Autonome, rigoureux·se, avec un bon sens du relationnel
Permis B (voiture personnelle préférable)

Stage de 6 mois – à partir de janvier/février 2026
Basé à Monferran-Savès (Gers, à 25 min de Toulouse)

Stage rémunéré, frais de déplacement pris en charge

Intéressé·e ?
Envoie ta candidature (CV + lettre de motivation) à : sylvain.hypolite@agrodoc.fr

Enquête sur les adventices parasites

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Agriculteurs en agriculture de conservation ou régénérative : votre avis compte ! Vous êtes engagé dans une agriculture respectueuse des sols et des écosystèmes ? Vous cultivez du tournesol, du colza ou des féveroles ? Nous vous invitons à participer à notre enquête en ligne sur la présence et (…)

Agriculteurs en agriculture de conservation ou régénérative : votre avis compte !
Vous êtes engagé dans une agriculture respectueuse des sols et des écosystèmes ? Vous cultivez du tournesol, du colza ou des féveroles ? Nous vous invitons à participer à notre enquête en ligne sur la présence et la gestion des plantes parasites dans vos cultures.
Certaines adventices comme Orobanche cumana (sur tournesol), Phelipanche ramosa (sur colza) ou Orobanche crenata (sur féverole) semblent gagner du terrain dans certaines régions. Mais qu’en est-il réellement sur vos exploitations ? Sont-elles un problème pour vous ? Sont-elles en augmentation ? Et surtout, quelles pratiques mettez-vous en œuvre pour les gérer ?
Vos retours nous permettront de mieux comprendre l’évolution de ces plantes parasites dans les systèmes en agriculture de conservation ou régénérative, et d’identifier les leviers les plus efficaces pour limiter leur impact.
👉 Répondre à l’enquête ne vous prendra que quelques minutes, mais votre contribution sera précieuse pour l’ensemble de la communauté agricole.
Merci d’avance pour votre participation !
Cliquez sur : tinyurl.com/parasiticweeds ou scannez le code QR ci-dessous
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Laissez-nous votre adresse, et, cinq (?) fois par an, nous vous ferons parvenir une sélection d'articles qui ont tout particulièrement retenu notre attention pour l'intérêt qu'ils présentent.
Promis, nous ne vous ennuierons pas avec des avalanches de mails intrusifs !

PHOTOTHÈQUE

LA DERNIÈRE PHOTO PUBLIÉE
Quatre structures de sol - Oberacker 2025

Quatre structures de sol - Oberacker 2025

(novembre 2025)

Voici 4 bêches de sol prélevées sur la plate-forme suisse d’Oberacker et dans les environs, lors de ses 30 ans en septembre 2025. De gauche à droite :
Sol sous forêt : on note la forte accumulation de matière organique en surface qui arrive à constituer une véritable litière assez typique de cet environnement. En raison du pH bas (environ 4,5) et donc de l’absence de vers de terre, il n’y a pas d’effet de mélange (bioturbation).
Sol de prairie (bande enherbée). La couleur brune indique un bon niveau de matière organique qui est réparti sur l’ensemble de l’épaisseur grâce à l’action de l’activité biologique et donc des vers de terre.
Sol en SD depuis 30 ans. Même si on aperçoit encore la rupture produite par l’ancien labour, la dilution de la matière organique, la quasi disparition de la semelle de labour et l’organisation verticale de la structure nous rapprochent de la prairie.
Sol en labour. Avec ce profil déjà plus clair pour un sol dit « brun », la rupture entre la zone travaillée et le sous-sol reste brusque. On remarque également assez bien la seconde rupture à 12-15 cm où s’arrête le labour aujourd’hui.
La présentation de ces 4 bêches de sol laisse apparaître beaucoup de différences très visuelles alors que la modalité labour est une version très « light » de travail du sol. Elle démontre également que le mode de gestion et surtout les pratiques culturales, peuvent induire beaucoup d’impacts sur un sol, Même s’il restera toujours difficile de déterminer à quelle vitesse il est possible de régénérer un état « organico-biologico-physique » d’un sol. Malgré ces incertitudes, il reste préférable de mettre en œuvre des pratiques plutôt « agradantes ».
UN DOSSIER EST CONSACRÉ À OBERACKER DANS LE PROCHAIN TCS, N°135 DE NOVEMBRE-DÉCEMBRE 2025.

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LA DERNIÈRE VIDÉO PUBLIÉE

Carbone du sol : Clé de la transition agroécologique - avec Olivier Husson

(juillet 2025)

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agroboutique

Réunir de l'information et des connaissances afin d'accompagner, de partager et de stimuler la réflexion sur nos pratiques est la principale raison d'être de cette boutique mise en place par nos amis AGROOF SCOP, spécialisée dans l'étude, la mise en place et le développement des pratiques agroforestières en France depuis 2000

LES MATIÈRES ORGANIQUES DES SOLS novembre 2025

R. CALVET - C. CHENU - S. HOUOT

Cet ouvrage apporte des éclairages sur le rôle central des sols en matière de protection de l’environnement.

icosyteme

ICOSYSTEME entend apporter des réponses agronomiques et techniques aux agriculteurs et techniciens, désireux de se former, de se perfectionner et de réussir leur transition agroécologique, aux étudiants et enseignants voulant acquérir des connaissances de terrains sur ces nouvelles pratiques de l’agriculture de régénération.

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