Documents
DES COUVERTS PÂTURÉS ET DES COUVERTS RÉCOLTÉS
Au GAEC de la Gachetière en Vendée, derrière les céréales, pendant les intercultures longues, des couverts sont implantés et valorisés par les bovins. Des mélanges sont pâturés en fin d’été et d’autres sont récoltés au printemps sous forme d’ensilage.
C’est la pratique du semis direct qui a conduit les éleveurs du Gaec de la Gachetière, à Grosbreuil dans le bocage vendéen, à généraliser le recours aux couverts entre un blé et un maïs, depuis plusieurs années.Une centaine d’hectares sont implantés chaque année, (...)
Les sous-semis dans le maïs : Des coûts faibles - un grand effet
La culture du maïs ensilage en Allemagne a fortement augmenté depuis 2003, passant de 1,12 millions d’hectares en 2002 à environ 2,04 millions d’hectares en 2011 (source : DMK). Le maïs est ainsi devenu la culture avec la plus forte croissance de surfaces les dix dernières années.
document en allemand : http://www.dsv-saaten.de/export/sites/dsv-saaten.de/extras/dokumente/innovation-ab-3-2010/4-11-untersaaten.pdf
Le développement des surfaces de maïs ensilage est très différent d’une région à (...)
Effet à long terme des engrais organiques sur le rendement et la fertilisation azotée des cultures
Les conséquences de l’utilisation de différents formes d’engrais organiques (engrais-vert de moutarde, pailles de céréales, 35 et 70 t ha-1 de fumier tous les 3 ans et 60 m3 ha-1 de lisier tous les 3 ans) sont testées à Changins depuis 1976. Cette étude analyse leurs effets à long terme (34 ans) sur le rendement des cultures, le besoin en engrais azoté et le stock d’azote (N) minéral dans le sol. Lorsque le N est non limitant, les engrais organiques ont des effets contrastés sur le rendement en grains (...)
en savoir plusEffet à long terme des engrais organiques sur les propriétés du sol
Les conséquences de l’utilisation de différents engrais organiques (engrais-vert, pailles de céréales, 35 et 70 t ha-1 de fumier tous les 3 ans et 60 m3 ha-1 de lisier tous les 3 ans) et chimiques (quatre doses d’azote) sont testées à Changins depuis 1976. Cette étude analyse leurs effets à long terme sur les propriétés organiques, chimiques et biologiques du sol. Après 34 ans d’essai, lorsque les cultures reçoivent une fertilisation azotée optimale, la teneur en matière organique diminue de 0,50 g/100 g (...)
en savoir plusConservation Agriculture, a way to High Efficiency Farming Systems
In Europe, and in the whole word, more and more farmers reduce soil tillage, either partially (minimum tillage or shallow cultivation) or totally (direct drilling or no tillage). The goal is to save money, time and machinery costs, but also to preserve and improve soil productive capacity. However, practicing direct drilling cannot be improvised and needs agronomic and technical skills; requiring also comprehensive understanding of the local agroecosystem. With a view to sustainable (...)
en savoir plusCultivateur ou Exploitant ? Autonomie et liberté en agriculture
En discutant il y a quelques temps avec Frédéric de l’idée d’autonomie en agriculture nous avons tout de suite mesuré l’ambiguïté du terme. Dans la foulée Frédéric me confie alors le soin d"analyser dans le cadre de leur activité ce qui distingue un Exploitant Agricole d’un Cultivateur, l’un rechercherait l’autonomie, l’autre revendiquerait la liberté . Pas simple, mais plein de sens … Manier les concepts n’est pas le propre d’un cultivateur, mais il dispose de par sa relation au sol d’un point de vue (...)
en savoir plusLa caméline
La caméline D’après l’expérience de Joseph Pousset (Agriculteur-expérimentateur) Extrait du livre « Agriculture Naturelle »
Son nom scientifique est Camelia sativa. C’est une crucifère dont la culture a disparu en France depuis longtemps. A la fin du XIXe siècle, on en cultivait déjà moins de 1000 hectares sur le territoire national. Elle possède pourtant de réelles qualités : La rapidité de sa végétation, puisqu’elle mûrit trois ou quatre mois seulement après le semis. Sa sobriété lui permet de se (...)
Blé : classement variétal 2012 des besoins en azote
Chaque année, Arvalis-Institut du Végétal fournit le classement des variétés de blé tendre selon leur coefficient b, autrement dit selon leur besoin en azote pour produire 1 q de grain.
Une donnée indispensable pour prévoir les quantités d’azote à rentrer, ou pour opter pour des variétés « sobres ». Encore faut-il que la contrainte qualitative (livrer un blé meunier à 11,5% de protéines, par exemple) soit prise en compte dans le calcul final de la dose à apporter.
Le tableau ci-dessous dresse la liste des (...)
DES INTERCULTURES À UTILISATION FOURRAGERE
Un document de 60 pages très bien fait sur les spécificités des espèces fourragères utilisables en interculture.
Systerre : Ajuster ses pratiques grâce à des indicateurs
Impossible d’améliorer ses pratiques sans se définir des objectifs à atteindre, donc savoir d’où l’on part. Pour ce faire, ARVALIS Institut du végétal a mis au point le logiciel Systerre, qui calcule les indicateurs de performance technique, économique et environnementale relatifs à l’exploitation. Cas concret avec la ferme de Jacques Hicter, située en Picardie.
Améliorer la conduite technico-économique de son exploitation, d’accord… Encore faut-il identifier où porter ses efforts. C’est pour objectiver (...)