Travailler ou ne pas travailler le sol, telle est la question !

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Voilà une question qui divise le monde agricole de multiples façons et donne naissance à des discussions passionnées, voire à des arguments irréconciliables et des dialogues de sourds. A un bout du spectre, on trouve le travail super intensif avec labour profond, sous-solage et outils animés ; de l’autre, le semis-direct sous couvert vivant (SDSCV) où le seul contact avec la terre se fait par des disques et/ou des dents lors du semis. Entre les deux, il y a les labours superficiels (charrues déchaumeuses), les TCS, le strip-till, la fissuration ponctuelle ou systématique et différentes combinaisons de toutes ces techniques. Pour les uns, c’est la maxime ”point de salut sans charrue” qui domine, une orientation qui se retrouve souvent parmi les agriculteurs bios qui combinent labour, sous-solage, hersage, binage, déchaumage et faux semis pour gérer mécaniquement la pression d’adventices et les problèmes de compactage, de battance et d’aération. Pour les autres, c’est-à-dire les SDistes en SDSCV, c’est l’acier qui est l’ennemi numéro 1 du sol. De leur point de vue, tout travail de sol est à proscrire.

La suite argumentaire à lire dans la lettre de l’agriculture régénérative publiée initialement en septembre 2020 et mise à jour en février 2021.
En voici le lien : http://vernoux.org/agriculture_regenerative/Travailler_ou_ne_pas_travailler_le_sol_telle_est_la_question.pdf