L’eau et l’hydrologie naturelle de la planète sont au coeur du contrôle climatique

Evolution des températures moyennes des terres et des océans entre 1850 et 2020
Evolution des températures moyennes des terres et des océans entre 1850 et 2020
Depuis 1970, la montée du mercure et des discordes s’accélèrent. Mais, bien qu’on semble avoir franchi un
point critique, les progrès et perspectives qui vont dans le bon sens sont rares et on reste figé sur la cause CO2.

Focalisant sur la nature multidimensionnelle du climat, et notamment sur ses aspects physiques, chimiques et biologiques, Walter Jehne, agronome, climatologue et micro-biologue des sols australien, place l’eau, les agrégats spongieux du sol et la végétation au centre du paradigme climatologique. Cette conception permet de mieux comprendre de nombreux phénomènes qui manquent souvent d’explications satisfaisantes en suivant les modèles habituels qui mettent le CO2 et les GES au centre : "pourquoi c’est l’eau, et non pas le CO2 et les gaz à effet de serre (GES), qui est le facteur dominant dans les phénomènes climatologiques", "la brume brune asiatique avec 90 % d’humidité relative et truffée de smog", "la diminution de l’albédo de la terre qui augmente le réchauffement climatique", "les dômes de chaleur haute pression au-dessus des zones sèches et dénudées", "la sécheresse aridifiante et humide", "le rôle de l’agriculture dans la destruction des écosystèmes et de la désertification qui avance partout dans le monde", ”le rôle crucial de l’agriculture pour venir à bout de la crise du climat”, ou encore les crises de sécheresse et d’incendies en Californie qui, sans actions appropriées, pourraient conduire à la désertification et à l’effondrement de son complexe agricole.

Comme l’eau contrôle plus de 95% de la dynamique de la chaleur de notre planète, il faudrait mettre l’accent sur l’eau et la restauration de ses cycles, non pas sur les émissions de CO2 !" - W. Jehne

La suite, richement documentée, est à lire dans le PDF ci-joint.

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