Un agriculteur est interviewé dans un journal européen à tendance écologique et pourtant il n’est pas bio, il ne fait pas de circuits courts, il ne vend rien à la ferme. Mais que fait il donc de si intéressant ? Et comment s’y prend-t-il ? La réponse dans cet article. Avec également sa vision du système, ce qu’il veut faire, ce qu’il ne veut pas faire, les verrous économiques, les freins au changement.
Le tout appuyé par le discours scientifique de Claire Chenu de l’INRAE au travers du nouveau projet de recherche européen dont elle est la coordinatrice (EJP-Soil).
Vendredi 18 décembre 2020
Les articles de cet auteur
- Le Slake test objectivé devient le Quanti-Slake-Test
- Un nouvel indice de qualité des sols se construit en Belgique
- Une journée TCS toute en poésie
- Lancement de l’alliance européenne pour l’agriculture régénérative
- Le saule pour refermer le cycle de l’azote
- Contrôle de l’érosion grâce à la gestion des communautés de vers de terre
- Ne dites pas "panier de crabes", dites "panier de vers de terre"
- Quelle est la différence entre un crédit carbone et un certificat carbone ?
- Marc-André Selosse :"Nous pouvons revisiter nos gestes à l’aune de notre connaissance"
- Le biochar : enjeu climatique, potentiel agronomique et leviers pour une utilisation systémique en Europe