Colza semé au monograine, associé avec le duo féverole-gesse au strip till (dissocié du semis du colza, le jour même à 1-2 jours avant).
Semis du 17/08, photos du 03 au 29 septembre et pesée au 21/11.
Doses de semis : colza 30gr/m2 et 45kg pour le mélange féverole-gesse à 40/60 % de proportions.
Ecartement des lignes : 50 cm.
Prometteur comme souvent à cette époque, étape des altises passée sans insecticide, reste les méligèthes, charançons et autres pucerons…
A suivre !!!
Que s’est-il passé ?
A : les gars d’EDF avaient du ciment en trop...
B : après 30 ans de labour, le sol a baissé de 50 cm,
C : peu importe, ils vont bientôt enterrer la ligne.
D : je ne vois pas où est le problème !
L’année 2020 avec 3 mois sans pluie, a peut-être donné l’occasion de se poser cette question. Les colzas levés fin septembre ont été affectés par les altises adultes, mais qu’en est-il des larves ?
Après plusieurs berlèses, je constate qu’il n’y a pas ou très peu de larves, contrairement aux années passées où mes colzas à 1,5 kg avant hiver en comptaient en grand nombre.
Mon interrogation : les gros colzas ne génèrent-ils pas de grosses maisons pour y abriter de grosses quantités de larves qui ressortent en mai pour créer de belles colonies jusqu’à l’automne ?
La question est ouverte...
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Deux fossés ce samedi de fin janvier : une comparaison pour exclure une quelconque fatalité... il pleut en janvier, comme souvent et peut-on encore nier l’influence du travail du sol sur l’érosion ?
Janvier ce sont aussi les soldes, pendant encore combien de temps allons-nous déstocker nos sols ???
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P.S : les deux photos ont bien été prises dans le même secteur, dans l’Aube.
C’est pourtant bien un colza semé non pas première quinzaine d’août (photo prise fin novembre) mais le 23 août.
En voici les modalités : semis au monograine à 26 gr/m² avec passage de strip till avec lequel a été localisé 40 kg de mélange féverole+gesse. Désherbage au Novall 0.8 et Kerb, zéro insecticide, dose d’azote prévue de 120 u et potentiel "espéré et réalisable" de 45 q/ha (parcelle de limons profonds).
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Colza semé à la même date, avec le même itinéraire mais cette fois-ci en sols plus superficiels. S’il y a eu quelques manques à la levée, les trous ont été comblés par la gesse, évitant le salissement.
Voici une comparaison entre un colza associé et un colza seul, dans l’Aube.
Le semis date du 26/08, à 26 gr/m², au monograines, à écartement 50 cm.
Le mélange de plantes compagnes, féverole + gesse, à 40 kg/ha, a été semé le même jour, mais en décalé, au strip-till.
La culture est un mélange de variétés hybrides (Cadran, Féliciano et Atlétik).
Résultat : le colza seul est attaqué par les altises qui délaissent le colza associé.
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