Les champignons au service de l’agroécologie | larecherche.fr

Cette coopération souterraine doit être prise en compte dans nos pratiques agricoles : en privilégiant le semis sous couvert, qui consiste à semer sur la culture précédente sans travailler le sol au préalable, ou en évitant simplement de labourer trop profondément ou de laisser un sol nu, on préserve alors l’intégrité des réseaux mycéliens. Les plantules peuvent ainsi se connecter à un champignon physiologiquement actif, comme à une nourrice, et bénéficier rapidement des services écosystémiques fournis par la mycorhize, notamment le transfert d’eau et d’éléments minéraux du sol

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